• A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

     

    Bonjour Eve, merci beaucoup d'avoir accepté de répondre à cette interview pour "Les Livres en Folies".

     

    A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

    Mais de rien, Aurélie ! Je suis ravie de répondre à vos questions (ça me donne l'impression d'être sur un plateau TV et d'être une star, style success story et tout ça !)(en vrai, je suis en jogging chez moi et j'ai des courses à faire) (ou comment la réalité écrabouille de son méchant pied le fantasme...)

     

    1) Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes pour vos lecteurs et futurs lecteurs ?

     

    Eve Borelli, la trentaine fière, vivant dans le sud de la France où oui, nous bénéficions du soleil toute l'année et pouvons donc nous permettre de nous prélasser en terrasse non-stop, histoire de bronzer un poil en ingurgitant nos mojitos. J'ai un chat de plus en plus envahissant et exigeant (c'est l'âge, je lui pardonne), je vis entourée de ma famille et mes amis. Last but not least, je voue une passion sans borne pour les Curly. (Le Curly, c'est la vie)

     

    2) On vous connaît surtout via vos romans édités chez les éditions Harlequins HQN. Pourquoi avoir décidé de proposer un manuscrit chez Nisha édition ?

     

    J'entendais beaucoup parler de cette maison, j'aimais leurs visuels, leur manière de communiquer et leur enthousiasme. C'est donc tout naturellement que je me suis tournée vers eux. Et je suis devenue une auteure HQNishadienne. J'aime bien la double-casquette : c'est très super-héros.

       

    3) D'ailleurs, dîtes-nous en un peu plus sur Le goût du thé dont le premier tome sort justement bientôt.

     

    Le goût du thé, celui du vent est un roman en 4 tomes, dont les deux premiers forment une unité (tout comme les deux derniers). Il s'agit d'une love story qui ne coule pas forcément de source, entre Amaury, un kitesurfer pro, chasseur de tempête, et Elinor, une passionnée de thé, youtubeuse aguerrie. Au programme : des rires, un chat qui s'impose, du sable, du roiboos, de la tendresse, des auras, des cadeaux étranges et bien sûr, de l'amour... Beaucoup d'amour !

     

     4) Parmi tous les livres que vous avez écrit, vers lequel va votre préférence ? Expliquez-nous pourquoi.

     

    Je n'ai pas de préférence en particulier, mais La petite brune dans la prairie est le premier roman que j'ai écrit : c'est un peu mon porte-bonheur. Le goût du thé, celui du vent a toute ma tendresse puisqu'il s'agit d'une histoire plus douce que celles que j'ai l'habitude d'écrire. Je fais une incursion dans le domaine de la romance doudou et romantique. J'ai adoré l'écrire. Cette histoire m'a fait rêver.

     

     5) Vous devez également avoir une certaine préférence pour l'un de vos personnages, dîtes-nous tout !

     

    J'aime particulièrement Elinor pour sa douceur et sa détermination. Mais je les apprécie toutes car en règle générale, ce sont des nanas qui ne se laissent pas abattre, qui ne se contentent pas de jeter des oeillades de merlants frits au mâle alpha du coin. Des filles qui ont des objectifs personnels, de la détermination et une vraie gentillesse. J'avoue que souvent, mes chouchous sont les personnages secondaires : James, le copain so british dans Délicieuse dépendance... Ludivine dans Toi, moi, les éléphants et Dark Vador... Juana dans Le goût du thé, celui du vent. Ils sont importants pour l'héroïne et sont des amis toujours fidèles (et un peu barrés)... comme les miens !

     

     6) Pourquoi avoir décidé d'écrire de la romance ? Qu'est-ce qui vous attire vers ce genre en particulier ?

     

    Je n'ai pas vraiment choisi la romance. L'idée de La petite brune dans la prairie m'est venue en regardant L'amour est dans le pré. J'ai rédigé cette histoire comme quelque chose de rigolo, dans l'esprit chick-lit, pas vraiment romance pure. Toi, moi, les éléphants et Dark Vador est carrément un roman loufoque. J'ai commencé à me plonger dans la romance sexy avec Délicieuse dépendance, puisque je répondais à une commande en érotique. En fait, je dirais que Le goût du thé, celui du vent est ma première vraie romance, doudou et romantique ! Très honnêtement, je ne sais pas vraiment pourquoi j'écris dans ce genre, surtout que je n'en lis jamais (je préfère les thrillers qui me font sursauter !). C'est comme ça, c'est mon truc !

     

    7) Avez-vous d'autres passions que l'écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

     

    L'écriture est ma vraie passion, et elle est possessive ! Pas vraiment d'autres choses, donc, si ce n'est mes enfants, que j'adore passionnément (même quand je compte les points lors d'une épique dispute Playmobilienne !). J'apprécie énormément mon boulot de prof et je crois que je ne pourrais rien caler de plus dans ma vie : la famille, l'écriture, le boulot, les amis = journées bookées !

    (Remarque... les Curly... ça peut compter comme une passion, non ? ;-) )

     

    8) Un dernier petit mot pour vos lecteurs et futurs lecteurs ?

    Je croise les doigts (tous, et très fort) que vous appréciez Le goût du thé, celui du vent, que j'ai écrit avec amour ! Comme d'habitude, à la sortie, je serai en train de me ronger les ongles d'angoisse, je me répéterai "Mais pourquoi j'ai fait ça... Pourquoiiiii ? (mode tragédienne des temps modernes), je harcèlerai mon éditrice pour qu'elle me rassure (elle est passée pro dans ce domaine). Ce sera donc la souffrance pour moi... mais j'espère que pour vous, ce ne sera que du plaisir !

     

     SES OEUVRES

    A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

     

    Un mot griffonné à la va-vite sur un morceau de sopalin. Voilà le type de rupture à laquelle Agathe a eu droit après plusieurs mois d’une relation passionnée avec celui qu’elle croyait être l’homme de sa vie. Elle aurait dû s’en douter : Nico, talentueux rugbyman, était bien trop sexy pour rester avec un médecin de campagne comme elle. Mais, aujourd’hui, après des semaines passées à lutter contre les souvenirs, elle doit affronter le retour de son ex en ville à l’occasion d’un match. Si jamais elle le croise, elle s’est juré de rester distante. Oui, elle sera digne, imperturbable, invulnérable… une vraie reine des glaces ! Alors pourquoi son cœur s’emballe-t-il dès qu’une ombre passe devant sa fenêtre ?

    A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

    Qui cherche la vigne, trouve le stéthoscope !

    Participer à une émission de télé-réalité pour trouver l’amour auprès d’un charmant homme des campagnes ? Même pas en rêve. Sauf que ma mère a un penchant naturel pour s’immiscer dans ma vie. Et une irrépressible envie de me caser, histoire d’avoir des petits enfants à pouponner. Résultat, me voilà inscrite pour tenter de séduire Romuald, grand brun ténébreux et très sympathique vigneron-œnologue au regard qui sent bon le fût de chêne. Bon, j’avoue : c’est plus la perspective de faire un peu de pub à mon entreprise de colliers pour chiens Ouaf-ouaf que celle de rencontrer l’homme de ma vie qui m’a convaincue d’effectuer la grande transhumance jusqu’à Issy-l’Évêque. Mais on ne sait jamais, il paraît que l’amour pousse parfois dans les champs !

     

    A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

    En ce moment, la vie de Lisie c’est le gros, gros, GROS bazar. Version animale. Car le zoo où elle travaille fait face à une invasion de spécimens tout à fait nouveaux, qui n’ont rien à envier aux locataires habituels.

    Théophile-le-cochon : le fils du propriétaire du zoo est une vermine ventripotente. Depuis qu’il a repris la direction en l’absence de son père hospitalisé, Théophile a décidé de pourrir la vie de Lisie en lui confiant des tâches toutes plus désagréables les unes que les autres. De Responsable de la communication, la voilà désormais promue à Ramasseuse de crottes d’éléphants, pile au moment où elle devait mettre à exécution son plan pour relancer l’activité du zoo...

    Lucas-le-paon : après une rencontre fracassante dans l’enclos des éléphants, voilà que Lisie est en charge de faire visiter le zoo à cet arrogant – et irritant – animal, mandaté pour rédiger un article. Un animal terriblement bavard mais aussi très, très séduisant...

    Entre un paon tout à fait charmant mais agaçant, un cochon aux intentions très douteuses et le zoo qui part à vau-l’eau, Lisie pourrait bien devenir chèvre !

    A la rencontre de l'auteure Eve Borelli

    "Elinor est une curieuse jeune femme passionnée par le thé. Elle parcourt le monde pour le faire découvrir sur sa chaîne youtube, revenant à Gruissan uniquement pour s'occuper de sa petite boutique, adorable lieu de rencontre, son rêve d'enfant. Une vie calme et douce, soudainement envahie par le trouble, lorsqu'en plein orage, elle rencontre Amaury, kitesurfeur et chasseur de tempête aux quatre coins du monde. La romantique saura-t-elle convaincre l'homme blessé de remplir sa vie d'amour plutôt que de bourrasques ? ... Une comédie touchante, tendre et drôle, pour les soirs de mauvais temps ou les journées ensoleillées. A savourer quelle que soit la météo...

     

     

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  • Commentaires

    1
    Audrey Hara
    Mercredi 24 Février 2016 à 12:31

    Sympa ! Ces histoires ont l'air super ! Je note :)

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    2
    jade isabelle
    Jeudi 1er Septembre 2016 à 12:49

    merci pour cette interview :) ses livres me tentent bien :)

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