Chronique Le duc qui fuyait l'amour de Lorraine Heath

Prix : 7.20 E

Pages : 281

Editeur : Harlequin

Résumé :

Depuis la mort prématurée de son épouse, le duc de Lovingdon mène une vie de débauche, noyant son chagrin dans le jeu et la luxure. Aussi est-il stupéfait quand la jeune Grace, qu’il considère comme sa petite sœur, sollicite son aide, afin de distinguer les prétendants sincères des coureurs de dot. Mais comment pourrait-il la conseiller, quand lui-même a renoncé à l’amour ? Grace n’acceptera aucun refus, il le sait. Et après tout, s’il peut lui éviter de tomber sur un arriviste sans scrupule qui lui brisera le cœur, il doit être là pour la guider. Car il faudrait être aveugle pour ne pas voir que la petite Grace est devenue une sublime jeune femme, qui attire toutes les convoitises… 

Mon avis :

Hé, c’est Peter en mode romantique pour les livres en folies avec un roman historique de la nouvelle collection VICTORIA de la maison d’éditions HARLEQUIN, Le duc qui fuyait l’amour de Lorraine Heath et je remercie la maison d’éditions ainsi que Chloé pour l’envoi de ce livre en service presse.

Ah, qu’il devait être bon d’être un aristocrate au XIX° siècle… Bon bien sûr pas pour les tenues, parce que celle de Monsieur le Duc sur la couverture est tout simplement… en accord avec l’époque certes… mais tout simplement pour la liberté d’agir, le jeu, la luxure…

C’est ce qui arrive à notre personnage principal, qui à la mort de son épouse, plonge dans la débauche. Mais comme tous les romans Harlequin, une jeune femme va s’insinuer dans le paysage… Ici, c’est la jeune Grace, qui connaît le Duc depuis son enfance et qui n’a qu’une idée en tête, lui faire recouvrer les esprits, afin qu’il puisse reprendre sa place parmi ses pairs…

J’ai beaucoup aimé le personnage de Grace et pas uniquement parce que c’est une jeune femme, mais parce qu’elle a une volonté énorme, un sens de l’abnégation incroyable et du courage aussi pour supporter le Duc.

Mais au-delà de la romance, de la période historique, l’auteur nous entraîne dans l’esprit d’un veuf qui a perdu son épouse et qui ne parvient pas à accepter sa mort, pire, qui se rend coupable de cette dernière.

Nous avons ici, le parfait exemple du complexe du survivant et pour ne pas penser à sa situation, le Duc se laisse aller à tous les excès jusqu’à ce qu’il s’aperçoive que si sa femme est morte… Lui est bien vivant…

En conclusion un belle romance qui plaira sûrement aux dames adeptes des romans historiques et des hommes torturés qui ne demandent qu’en fait à être consolés.

Ma note : 4 /5