Bonjour,

Merci d'avoir pris le temps de répondre à cette interview.

Bonjour,

Merci à vous de l’avoir proposée ! 

1) Pouvez-vous vous présenter un petit peu ?

Je m’appelle Tiffany, j’ai 26 ans et je viens de Suisse. Je suis passionnée de littérature depuis que je suis toute petite, et je voue également un amour inconditionnel à la cuisine et à la musique (je fais du violon !). Les poneys roses, les licornes, les paillettes et les fraises tagada ont également une place importante dans ma vie ! :-p

2) Avez vous toujours voulu devenir écrivain ? Pourquoi ?

J’ai toujours aimé écrire, mais je ne peux pas vraiment dire que j’ai toujours voulu devenir écrivain. Au début, j’écrivais surtout pour moi-même, et je faisais lire mes textes presque essentiellement à ma maman. Quand elle a découvert ma première histoire, c’est elle qui a émis l’idée de l’édition. J’ai suivi son conseil plus pour lui faire plaisir que par réelle envie, et me voilà aujourd’hui avec plusieurs livres publiés ! Il faut dire qu’on se prend vite au jeu du monde de l’édition…

3) Comment s'est déroulé votre recherche de maison d'édition ?

Elle s’est faite petit à petit. Comme la publication n’a jamais été, à la base, un réel but pour moi, j’envoyais de temps à autres des manuscrits par-ci par-là. Bien sûr, dès que j’ai été publiée pour la première fois, j’ai commencé à m’investir plus franchement dans cette voie. J’ai découvert la joie des petits éditeurs, mais également la difficulté d’évoluer parfois avec eux. Plusieurs d’entre eux chez qui j’avais signé ont malheureusement fermé leurs portes. Tout ça reste cependant une expérience merveilleuse, et pour rien au monde je ne reviendrais en arrière.

4) Avez-vous un auteur favoris ? Vous inspirez-vous de ce dernier ?

Je ne peux pas citer un seul auteur, il y en a deux ! Tout d’abord, la fabuleuse J. K. Rowling. Comme bon nombre de personnes, Harry Potter est mon héros d’enfance, et même si je ne cherche pas à le faire, je suis persuadée que l’amour que je porte à son univers se ressent dans mes romans. La seconde auteure que je nommerais, c’est la talentueuse Annie Pietri, que j’ai découverte quand j’avais 14 ans. Bien loin du style fantastique qui m’est si cher, Annie écrit principalement des romans jeunesses basés sur des contextes historiques ce qui, au final, me semble beaucoup plus complexe que de créer un univers fantastique puisqu’il faut respecter des règles qui ont été mises en place il y a bien longtemps et donc avoir le courage de faire de nombreuses recherches pour ne pas perdre en crédibilité et en cohérence.

5) Pouvez vous nous présenter un de vos livres ?

C’est de « Dévore-moi ! – tome 1 : L’Imaginarium » que je souhaite parler, car c’est mon prochain roman à paraître. Il s’agit du premier tome d’une saga de type fantastique qui comptera au final 4 romans. Ce livre est écrit par mes soins, mais également illustré par les doigts de fée de la talentueuse Sarah Bertagna qui a réalisé non seulement la couverture, mais également une vingtaine de crayonnés que vous pourrez retrouver au cœur des pages. Si le premier tome est plutôt fantastique, à partir du second l’histoire basculera vers le domaine de la fantasy. Tout au long du récit, vous rencontrerez bon nombre de créatures fantastiques comme des fées, des leprechauns, des Coquillards, des sorciers et des Thelxiopes. Mais la créature principalement mise à l’honneur est l’Animage !

6) Comment se déroule votre journée lorsque vous écrivez ?

En fait, on ne peut pas vraiment parler de journée car j’écris principalement le soir, sauf peut-être pendant mes vacances. Je n’ai pas vraiment de rituel d’écriture, mais la seule chose dont j’ai besoin, c’est de bruit. Je ne peux pas écrire dans le silence, j’ai toujours la télévision allumée en bruit de fond, ou parfois de la musique mais uniquement sans paroles ou alors en anglais, sinon, il y a trop de risques que je me mette à chanter au lieu d’écrire ! :-p

7) Utilisez-vous votre entourage ou même les paysages que vous voyez dans vos romans ?

Venant de Suisse, il m’arrive souvent de lire des livres d’auteurs français ou belges et de ne pas comprendre certaines expressions, mots ou autres. Du coup, quand j’écris, je me base beaucoup sur mes habitudes de vie, sur les traditions de ma région. Il arrivait fréquemment que je reçoive des remarques de lecteurs qui ne comprenaient pas bien certains contextes, raison pour laquelle j’ai pris l’habitude de les décrire en notes de bas de page dans mes romans. Pour la petite anecdote, dans un de mes romans qui se déroule en 2004, un personnage tend un billet de « dix francs ». Une lectrice a alors fait remarquer que j’avais dû faire une erreur car en 2004, l’euro était déjà en vigueur en France. Mais en Suisse, nous n’utilisons pas cette monnaie ! 

8) Avez vous un mot à dire à vos lecteurs ou futurs lecteurs?

Je crois qu’il n’y a rien d’autre à dire que MERCI ! Il existe tant d’auteurs, tant de romans, alors le simple fait de savoir qu’au moins une personne est là pour me lire me remplit d’honneur et de gratitude !

SES OEUVRES

A 27 ans, il est grand temps pour Liam de prendre son envol. Lorsque le jeune homme se voit offrir une promotion qui l’enverra bien loin de la maison familiale, il n’hésite pas et se met en quête de son premier appartement.
Sise au « 28, allée des Ormeaux », sa nouvelle demeure lui paraît idéale. Jusqu’à ce qu’il se rende compte que ses voisins ont un sérieux penchant pour le suicide.
Est-ce une coïncidence ? Quel mystère plane sur le « 28, allée des Ormeaux »

Un malentendu aux conséquences tragiques…

Lorsqu’Alasdyr Grave, conservateur de la bibliothèque des transports de Londres décide d’acquérir un original de Charles Dickens, il est loin de se douter qu’il va devoir composer avec, entre autres, un ange noir au tempérament bien trempé.

De Londres à Berlin, Alasdyr doit compter sur l’aide surnaturelle de ses compagnons pour découvrir qui souhaite sa mort…

Lorsqu’elle entre au collège, Maddy sait que sa vie va prendre un nouveau tournant. Mais elle est à mille lieues d’imaginer l’incroyable aventure qui l’attend. Au fur et à mesure des surprises et des rencontres, la jeune fille devra apprendre à démêler le vrai du faux.

L’accident de sa petite sœur en est-il vraiment un ? Y a-t-il un rapport avec l’arrivée de Caleb, ce garçon mystérieux qui semble avoir une dent contre elle ?

Déterminée à découvrir la vérité, Maddy est bien loin de se douter que les réponses à ses questions se trouvent dans un monde jusque-là inconnu, L’Imaginarium…

''Eurielle est une jeune fille de vingt ans, discrète et de nature très solitaire. Malgré le fait que sa vie soit plutôt calme et banale, elle savoure l’autonomie qu’elle a pu acquérir grâce à des parents peu présents qui ne souhaitaient pas avoir d’enfant. Elle voit cependant les barrières qu’elle a dressées autour d’elle se fragiliser lorsqu’elle rencontre deux étranges personnages qu’elle semble être la seule à voir. Malgré tous les efforts qu’elle fait pour se persuader que ces deux êtres sont le simple fruit de son imagination, la réalité la rattrape lorsqu’elle subit un accident et se retrouve propulsée dans un autre monde, le Royaume des Anges, auquel elle ne semble pas si étrangère. Eurielle va alors devoir trouver sa place entre ces deux mondes qui semblent dépendre entièrement d’elle.''

Une inspiration... une expiration... un soupir...
La vie de Mercedes se résume à cela. A 19 ans, elle souffre d'un asthme sévère et ne peut profiter de sa vie comme elle le souhaite.
Voyant qu'elle passe à côté de toutes les expériences qu'elle devrait vivre durant son adolescence, une étrange petite fille va venir à sa rencontre afin de lui apprendre à profiter de sa vie.
L'asthme est une maladie commune, mais pas moins grave pour autant. Découvrez l'histoire d'une jeune fille qui se bat pour survivre, pour soupirer son requiem...

Bonjour Eve, merci beaucoup d'avoir accepté de répondre à cette interview pour "Les Livres en Folies".

Mais de rien, Aurélie ! Je suis ravie de répondre à vos questions (ça me donne l'impression d'être sur un plateau TV et d'être une star, style success story et tout ça !)(en vrai, je suis en jogging chez moi et j'ai des courses à faire) (ou comment la réalité écrabouille de son méchant pied le fantasme...)

1) Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes pour vos lecteurs et futurs lecteurs ?

Eve Borelli, la trentaine fière, vivant dans le sud de la France où oui, nous bénéficions du soleil toute l'année et pouvons donc nous permettre de nous prélasser en terrasse non-stop, histoire de bronzer un poil en ingurgitant nos mojitos. J'ai un chat de plus en plus envahissant et exigeant (c'est l'âge, je lui pardonne), je vis entourée de ma famille et mes amis. Last but not least, je voue une passion sans borne pour les Curly. (Le Curly, c'est la vie)

2) On vous connaît surtout via vos romans édités chez les éditions Harlequins HQN. Pourquoi avoir décidé de proposer un manuscrit chez Nisha édition ?

J'entendais beaucoup parler de cette maison, j'aimais leurs visuels, leur manière de communiquer et leur enthousiasme. C'est donc tout naturellement que je me suis tournée vers eux. Et je suis devenue une auteure HQNishadienne. J'aime bien la double-casquette : c'est très super-héros.

3) D'ailleurs, dîtes-nous en un peu plus sur Le goût du thé dont le premier tome sort justement bientôt.

Le goût du thé, celui du vent est un roman en 4 tomes, dont les deux premiers forment une unité (tout comme les deux derniers). Il s'agit d'une love story qui ne coule pas forcément de source, entre Amaury, un kitesurfer pro, chasseur de tempête, et Elinor, une passionnée de thé, youtubeuse aguerrie. Au programme : des rires, un chat qui s'impose, du sable, du roiboos, de la tendresse, des auras, des cadeaux étranges et bien sûr, de l'amour... Beaucoup d'amour !

 4) Parmi tous les livres que vous avez écrit, vers lequel va votre préférence ? Expliquez-nous pourquoi.

Je n'ai pas de préférence en particulier, mais La petite brune dans la prairie est le premier roman que j'ai écrit : c'est un peu mon porte-bonheur. Le goût du thé, celui du vent a toute ma tendresse puisqu'il s'agit d'une histoire plus douce que celles que j'ai l'habitude d'écrire. Je fais une incursion dans le domaine de la romance doudou et romantique. J'ai adoré l'écrire. Cette histoire m'a fait rêver.

 5) Vous devez également avoir une certaine préférence pour l'un de vos personnages, dîtes-nous tout !

J'aime particulièrement Elinor pour sa douceur et sa détermination. Mais je les apprécie toutes car en règle générale, ce sont des nanas qui ne se laissent pas abattre, qui ne se contentent pas de jeter des oeillades de merlants frits au mâle alpha du coin. Des filles qui ont des objectifs personnels, de la détermination et une vraie gentillesse. J'avoue que souvent, mes chouchous sont les personnages secondaires : James, le copain so british dans Délicieuse dépendance... Ludivine dans Toi, moi, les éléphants et Dark Vador... Juana dans Le goût du thé, celui du vent. Ils sont importants pour l'héroïne et sont des amis toujours fidèles (et un peu barrés)... comme les miens !

 6) Pourquoi avoir décidé d'écrire de la romance ? Qu'est-ce qui vous attire vers ce genre en particulier ?

Je n'ai pas vraiment choisi la romance. L'idée de La petite brune dans la prairie m'est venue en regardant L'amour est dans le pré. J'ai rédigé cette histoire comme quelque chose de rigolo, dans l'esprit chick-lit, pas vraiment romance pure. Toi, moi, les éléphants et Dark Vador est carrément un roman loufoque. J'ai commencé à me plonger dans la romance sexy avec Délicieuse dépendance, puisque je répondais à une commande en érotique. En fait, je dirais que Le goût du thé, celui du vent est ma première vraie romance, doudou et romantique ! Très honnêtement, je ne sais pas vraiment pourquoi j'écris dans ce genre, surtout que je n'en lis jamais (je préfère les thrillers qui me font sursauter !). C'est comme ça, c'est mon truc !

7) Avez-vous d'autres passions que l'écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

L'écriture est ma vraie passion, et elle est possessive ! Pas vraiment d'autres choses, donc, si ce n'est mes enfants, que j'adore passionnément (même quand je compte les points lors d'une épique dispute Playmobilienne !). J'apprécie énormément mon boulot de prof et je crois que je ne pourrais rien caler de plus dans ma vie : la famille, l'écriture, le boulot, les amis = journées bookées !

(Remarque... les Curly... ça peut compter comme une passion, non ? ;-) )

8) Un dernier petit mot pour vos lecteurs et futurs lecteurs ?

Je croise les doigts (tous, et très fort) que vous appréciez Le goût du thé, celui du vent, que j'ai écrit avec amour ! Comme d'habitude, à la sortie, je serai en train de me ronger les ongles d'angoisse, je me répéterai "Mais pourquoi j'ai fait ça... Pourquoiiiii ? (mode tragédienne des temps modernes), je harcèlerai mon éditrice pour qu'elle me rassure (elle est passée pro dans ce domaine). Ce sera donc la souffrance pour moi... mais j'espère que pour vous, ce ne sera que du plaisir !

 SES OEUVRES

Un mot griffonné à la va-vite sur un morceau de sopalin. Voilà le type de rupture à laquelle Agathe a eu droit après plusieurs mois d’une relation passionnée avec celui qu’elle croyait être l’homme de sa vie. Elle aurait dû s’en douter : Nico, talentueux rugbyman, était bien trop sexy pour rester avec un médecin de campagne comme elle. Mais, aujourd’hui, après des semaines passées à lutter contre les souvenirs, elle doit affronter le retour de son ex en ville à l’occasion d’un match. Si jamais elle le croise, elle s’est juré de rester distante. Oui, elle sera digne, imperturbable, invulnérable… une vraie reine des glaces ! Alors pourquoi son cœur s’emballe-t-il dès qu’une ombre passe devant sa fenêtre ?

Qui cherche la vigne, trouve le stéthoscope !

Participer à une émission de télé-réalité pour trouver l’amour auprès d’un charmant homme des campagnes ? Même pas en rêve. Sauf que ma mère a un penchant naturel pour s’immiscer dans ma vie. Et une irrépressible envie de me caser, histoire d’avoir des petits enfants à pouponner. Résultat, me voilà inscrite pour tenter de séduire Romuald, grand brun ténébreux et très sympathique vigneron-œnologue au regard qui sent bon le fût de chêne. Bon, j’avoue : c’est plus la perspective de faire un peu de pub à mon entreprise de colliers pour chiens Ouaf-ouaf que celle de rencontrer l’homme de ma vie qui m’a convaincue d’effectuer la grande transhumance jusqu’à Issy-l’Évêque. Mais on ne sait jamais, il paraît que l’amour pousse parfois dans les champs !

En ce moment, la vie de Lisie c’est le gros, gros, GROS bazar. Version animale. Car le zoo où elle travaille fait face à une invasion de spécimens tout à fait nouveaux, qui n’ont rien à envier aux locataires habituels.

Théophile-le-cochon : le fils du propriétaire du zoo est une vermine ventripotente. Depuis qu’il a repris la direction en l’absence de son père hospitalisé, Théophile a décidé de pourrir la vie de Lisie en lui confiant des tâches toutes plus désagréables les unes que les autres. De Responsable de la communication, la voilà désormais promue à Ramasseuse de crottes d’éléphants, pile au moment où elle devait mettre à exécution son plan pour relancer l’activité du zoo...

Lucas-le-paon : après une rencontre fracassante dans l’enclos des éléphants, voilà que Lisie est en charge de faire visiter le zoo à cet arrogant – et irritant – animal, mandaté pour rédiger un article. Un animal terriblement bavard mais aussi très, très séduisant...

Entre un paon tout à fait charmant mais agaçant, un cochon aux intentions très douteuses et le zoo qui part à vau-l’eau, Lisie pourrait bien devenir chèvre !

"Elinor est une curieuse jeune femme passionnée par le thé. Elle parcourt le monde pour le faire découvrir sur sa chaîne youtube, revenant à Gruissan uniquement pour s'occuper de sa petite boutique, adorable lieu de rencontre, son rêve d'enfant. Une vie calme et douce, soudainement envahie par le trouble, lorsqu'en plein orage, elle rencontre Amaury, kitesurfeur et chasseur de tempête aux quatre coins du monde. La romantique saura-t-elle convaincre l'homme blessé de remplir sa vie d'amour plutôt que de bourrasques ? ... Une comédie touchante, tendre et drôle, pour les soirs de mauvais temps ou les journées ensoleillées. A savourer quelle que soit la météo...

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Twitter : https://twitter.com/eveborelli

Bonjour,

Merci d'avoir pris le temps de répondre à cette interview.

Bonjour et merci à vous de m'accueillir virtuellement pour cette entrevue :)

1. Pouvez-vous vous présenter un petit peu ?

    

Lil Evans, pour vous servir :) Auteure de Ne me lâche pas et Love and... Chaos.

Je suis originaire du Pas-de-Calais mais je vis en Belgique. Euh... Je ne suis pas très douée pour me présenter alors je ne sais pas quoi dire d'autre ^_^ Ah si, je suis accro aux smileys, au chocolat et aux séries. J'adore lire, et tous mes presse-livres sont des chouettes et des hiboux ; mais j'aime encore plus écrire. J'adore aussi la photographie, même si je suis loin d'être une pro. Voilà voilà ! Je ne pouvais pas faire plus hétéroclite ^_^

Ça c'est moi :D

1. Avez-vous toujours voulu devenir écrivain ? Pourquoi ?

    

Non. Quand j'étais petite, j'ai regardé Jurassic park, qui est toujours mon film préféré :p Du coup, je voulais être paléontologue LOL ! Pourquoi ce grand " LOL " ? Tout simplement parce que je suis très loin d'être une scientifique. J'ai toujours su que je me tournerais vers des études littéraires, mais c'est permis de rêver !

Donc, après un bac littéraire et une fac de lettres, je me suis retrouvée à chercher ma voie et quand j'ai été dans une impasse, je me suis tournée naturellement vers l'écriture, vers le tard.

Au début, ça a été dur parce que je ne savais pas ce que je faisais. J'en avais juste énormément envie et j'ai commencé à écrire ma première romance, qui est une romance fantastique, de A à Z. Ca m'a plu et je n'ai plus jamais arrêté.

1. Comment s'est déroulé votre recherche de maison d'édition ?

    

Alors avant de chercher une ME, j'ai beaucoup écrit. Plusieurs livres, en fait. J'ai commencé à poster des extraits sur ma page, petit à petit. J'ai eu des retours positifs et on m'a suggéré d'envoyer mes manuscrits. Je ne remercierais jamais assez toutes mes amies qui m'y ont poussé et qui m'ont soutenues, car grâce à elles, j'ai franchi le pas.

Puisque j'étais dans le paranormal, j'ai déjà dû éliminer beaucoup de maisons de mes recherches. Puis il faut savoir aussi que beaucoup d'éditeurs ont leurs soumissions ouvertes seulement quelques semaines par an alors ce n'était pas facile. J'en ai selectionné plusieurs qui collaient et j'ai envoyé mon premier manuscrit.

Malheureusement, il n'a pas reçu de réponses positives alors je l'ai retravaillé et en attendant, j'ai soumis un autre bébé : Ne me lâche pas. Autre romance paranormale, vu que j'adore les écrire :D Je l'ai envoyé chez une petite maison mais j'avais un non le jour même, n'étant pas dans la bonne ligne éditoriale. À savoir : le genre de roman qu'une maison d'édition publie, c'est une ligne éditoriale. Toutes ne font pas dans le paranomal, la romance, le thriller ou autre. Déçue, et comme mon manuscrit était sous copyright, je me suis dit, autant tenter ailleurs. Il y avait cette autre maison d'édition que je connaissais et qui me plaisait : la Plume et le Parchemin. J'ai jeté un oeil sur leur site et j'ai vu que leurs soumissions étaient ouvertes. J'ai envoyé. Ça a été la seule autre à qui j'ai envoyé Ne me lâche pas, puis je suis passée à autre chose.

Deux mois plus tard, juste avant noël, j'avais un oui.

L'un des plus beaux jours de ma vie :D

1. Avez-vous un auteur favoris ? Vous inspirez-vous de ce dernier ?

    

Il y a deux auteures que je suis en fangirlant à chaque nouveau livre : Melissa Giorgio, auteure américaine de young adult paranormal. Et Darynda Jones, la maman de CHARLEYYYYYYY – désolée, je ne peux jamais m'empêcher de hurler son prénom :D – Davidson.

Je ne m'inspire jamais des autres auteurs. Je pense avoir mon propre style et il me convient. D'ailleurs, je serais incapable d'être aussi géniale que Darynda, et tout autant incapable de faire du Young Adult aussi parfait que Melissa Giorgio ♥

1. Pouvez-vous nous présenter un de vos livres ?

    

Aïe, j'en ai écrit tellement !

Mais je vais vous parler de Ne me lâche pas, ma toute première publication. Cette histoire, c'est celle d'une jeune femme qui a vécu des horreurs et qui tente de se reconstruire en découvrant le monde. J'ai toujours aimé créer des héroïnes piquantes et franches mais ma fifille dans Ne me lâche pas est très différentes. Elle est sensible et fragile, très douce. C'était la première fois que j'écrivais sur un personnage aussi psychologiquement complexe et au passé très noir.

J'ai également intégré cette histoire dans un monde où des tensions règnent entre les races, tout en isolant mes personnages dans une bulle de pureté végétale, l'histoire se déroulant au milieu d'une forêt immense et dense.

Et la plupart de l'intrigue tourne autour d'une meute de loups très protecteurs et prêts à tout pour protéger leur vie, et celle des gens qu'ils aiment :)

1. Comment se déroule votre journée lorsque vous écrivez ?

    

J'ai toujours des tas d'histoires en tête et j'aimerais pouvoir écrire 24H/24 pour toutes leur donner vie. Malheureusement, être écrivain devrait plutôt porter le nom de "relecteur" parce qu'on passe beaucoup plus de temps à se relire et à se corriger, qu'à véritablement écrire.

Comme j'ai déjà pas mal de manuscrits sur le coude, en général mais journées sont passées à jongler entre bescherelles et dictionnaires pour vérifier si je n'ai pas écris de bêtises (et il y en a toujours beaucoup :p ). Je modifie, réctifie, améliore, supprime jusqu'à être satisfaite de mon travail.

Et bien sûr, quand je me dis "tiens, il est prêt à être envoyé", je le trouve soudain très mauvais. Alors je recommence à lire, corriger, améliorer.

C'est très frustrant, mais quand on reçoit un petit "oui" d'une maison d'édition, on se dit vraiment que ça a du bon, de faire tout ça :)

1. Utilisez-vous votre entourage ou même les paysages que vous voyez dans vos romans ?

    

Non, absolument pas. Mes personnages s'imposent d'eux-même dans ma petite tête. D'abord, leur caractère est évident dès le début. Puis selon leur tempérament, leur physique arrive tout seul. Je n'ai qu'à fermé les yeux, je vois tout de suite de quoi ils ont l'air. Enfin plutôt : je vois à quoi ils veulent ressembler. Ils ont tous leur volonté propre.

Pour ce qui est des paysages, je m'inspire surtout des endroits que j'aimerais visiter. Comme ça, en faisant mes recherches, je peux en quelques sortes voyager là-bas.

1. Avez vous un mot à dire à vos lecteurs ou futur lecteur?

Merci à tous ! Vous encouragements sont importants et vous êtes tous adorables ! Je vous aime ♥

Mes bébés maintenant :

Ne me lâche pas : Elle l’envoûte. Il la protège.
Louka va la rencontrer sur son territoire. Elle, cette jeune femme perdue et brisée qui réveille sa bestialité. Alors qu’il devrait la tuer, ses instincts de loup le poussent à la protéger, envers et contre tout.
Mais dans ce monde où les Métamorphes sont enfin libres de vivre, certaines personnes se révèlent être encore pire que des cauchemars. Leur violence n’aura d’égal que leur haine pour tout ce qui touche au surnaturel. Des événements tragiques forceront alors un Louka dévasté à prendre son destin en main. Il fera tout pour sauver la femme qu’il aime avant qu’il ne soit trop tard.

Et Love and... Chaos (tome 1) Ebony voit sa vie chamboulée lorsque ses nouveaux voisins emménagent dans la maison d'à côté. En plus du bruit à des heures indues, il y a désormais des hommes plus que louches qui traînent devant chez elle, et bien sûr, il y a Ax. Ax est le petit nouveau dans le quartier et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a un ego de la taille de l'univers. Mais surtout, un côté bad boy craquant qui vous fait rêver. Mais même si Ax est dangereux, même si les hommes qu'il ramène chez lui font partie des pires criminels, le danger n'est pas forcément là où on s'y attend et Ebony va le découvrir à ses dépens.

Bonjour,

Merci d'avoir pris le temps de répondre à cette interview.

Ce fut un plaisir !

1.      Pouvez-vous vous présenter un petit peu ?

Hé, hé… Qui suis-je ? Hé bien, je dirais que je suis une gourmande, qui adore assaisonner les mots à toutes les sauces - polar, fantasy, érotisme, humour - et partager sa table avec des amis. A la base, je pensais d'ailleurs devenir cuisinière ou œnologue, croyant qu’écrivain n’était pas un vrai métier. (En fait, ce n’est effectivement pas un métier qui vous assure un salaire mensuel, mais ne me le répétez pas car je risquerais de paniquer !). Ce qui est certain, c’est que je n'ai aucune chance au jeu parce que j'en ai eu en amour… Il y a seize ans, je rencontrais mon mari, Pierre Grimbert, lors d’une séance de dédicaces. D’elfes en trolls, de farfadets en bulbidules et autres carabistouilles de sorcellerie, nous sommes tombés amoureux et avons donné naissance à quatre lutins, ainsi qu’à une maison d’édition : les Editions Octobre.

2.      Avez-vous toujours voulu devenir écrivain ? Pourquoi ?

J'ai grandi au milieu des livres. Ma mère et ma grand-mère maternelle écrivaient elles aussi, mais sans chercher à être publiées. Et mon frère en a fait son métier. Quant à mon papa, c'était un artiste-peintre et un ébéniste. Il tenait un commerce d'antiquités et, parmi les meubles anciens, il y avait toujours des vieux bouquins que je dévorais avec passion. Bref, j'ai été tentée d'apprendre à lire très tôt. Vers cinq ans, le but était atteint. Et dès mes neuf ans, je visais un autre objectif : écrire mes propres textes. Une irrésistible envie de raconter mes réflexions, mes rêves, mes cauchemars, mes peurs... Puis d'inventer des histoires. C'est ainsi que l'écriture est devenue pour moi une véritable addiction.

3.      Comment s'est déroulée votre recherche de maison d'édition ?

Je me suis lancée dans l'aventure à l'âge de dix-sept ans. J'ai essuyé quelques refus, mais toujours soigneusement justifiés et ponctués d'encouragements. Donc, j'ai persévéré. Jusqu'à mes dix-neuf ans où les éditions Degliame m'ont donné ma chance. Quatre de mes romans sont parus chez eux, puis Pierre et moi avons décidé de créer les Editions Octobre, pour avoir encore plus de liberté dans notre écriture et intervenir sur toutes les étapes de fabrication du livre.

4.      Avez-vous un auteur favori ? Vous inspirez-vous de ce dernier ?

C'est difficile, car j'en ai plusieurs. Quatre ont beaucoup compté dans mon parcours littéraire...

Enfant, je lisais Jean Ray et les auteurs de l'ancienne collection "Marabout Fantastique". Puis, dans un tout autre registre, j'ai eu un coup de cœur pour "Chemin faisant" de Jacques Lacarrière. J'adore la randonnée, et Jacques Lacarrière décrit à merveille cette sensation de liberté et de magie qui me ravit quand je file sur les chemins avec mon sac à dos.

J'ai découvert plus tardivement la fantasy. C'est James P. Blaylock et son "Vaisseau Elfique" qui m'ont éveillée à ce genre. Je me sentais tellement bien dans l'univers de Blaylock que je voulais prolonger ce voyage à ma manière : en prenant la plume à mon tour.

Et bien sûr, je voue une immense admiration à Simenon. Il saisit l'âme des gens, leur humanité, avec une telle finesse, une telle justesse que ça en devient magique. D'ailleurs, je réalise que je l'évoque au présent alors qu'il n'est plus de ce monde... Un homme avec un tel talent est immortel, sans doute !

Mes goûts en matière de lecture sont tout aussi variés que mon travail d'écriture. En revanche, je ne m'inspire pas de mes auteurs favoris, car je n'aurais déjà pas assez de toute une vie pour mettre sur papier les millions d'idées que recèle ma propre caboche !

5.      Pouvez-vous nous présenter un de vos livres ?

Le dernier paru, peut-être ? "Monstre en Cavale : Baba Yaga, la sorcière givrée". Une sorcière russe débarque en France avec la ferme intention de devenir "Maîtresse du Monde". Mais la pauvre a la poisse et, elle a beau être terriblement cruelle, il ne lui arrive que des malheurs. C'est un roman complètement déjanté, et je me suis beaucoup amusée en le rédigeant. J'y ai réuni les sorcières du monde entier, toutes plus frapadingues les unes que les autres. Je leur ai inventé des coutumes, assez loufoques. C'est écrit à la manière d'un cartoon, car je voulais que cela soit visuel et sans temps mort. Et en "bonus", un entretien avec une sorcière qui nous confie où et comment naissent et grandissent celles de son peuple.

6.      Comment se déroule votre journée lorsque vous écrivez ?

J'ai quatre enfants : quinze ans, dix ans et des jumeaux de deux ans. Pas de nounou, donc il faut savoir s'organiser. Je suis debout à cinq heures trente pour m'occuper de la maisonnée. Une fois mes fils aînés en cours, je bosse en tant qu'assistante d'éditions (Editions Octobre) et, en fin d'après-midi, je peux me consacrer à la rédaction de mes romans. Quand je ne suis pas en dédicaces sur les salons, j'écris le week-end également... Ou la nuit, durant mes insomnies !

7.      Utilisez-vous votre entourage ou même les paysages que vous voyez dans vos romans ?

Je m'inspire énormément des paysages. Ils me fournissent une précieuse énergie pour écrire. La nature est fascinante, pleine de trésors et de surprises. On peut visiter mille fois un lieu, il sera toujours différent selon les couleurs du ciel, l'humeur du climat... Et on y trouvera chaque fois des détails qui font vibrer de bonheur (odeurs, ombres, lumières...) et incitent au rêve. La nature est, sans que cela soit une évidence, la véritable héroïne du "Festin d'Ohmelle"; elle m'a beaucoup inspirée pour l'écriture de ce cycle.

Je suis toujours à l'affût de quelque chose d'extraordinaire - un décor ou une personnalité - car j'aime la nature et j'aime les gens. Je me nourris sans doute inconsciemment de chaque rencontre pour donner une crédibilité et un charisme aux personnages de mes romans. Il est essentiel de comprendre l'humain, de tenter de le décrypter pour préserver une empathie et une tolérance dont le monde manque cruellement. Chaque personnalité est intéressante et peut se révéler touchante. Quant aux véritables c...s, je l'avoue, j'ai plaisir à leur faire trancher la tête vite fait bien fait par un barbare ou à les faire trucider par des vieilles dames sans défense... dans mes romans, bien sûr !

1. Avez vous un mot à dire à vos lecteurs ou futurs lecteurs?

    

Un grand merci, car ils insufflent la vie à mes histoires. Si l'auteur bâtit le roman, les lecteurs ont le talent de l'interpréter en l'enrichissant avec leur propre imaginaire. Et en l'évoquant avec des amis ou des proches, ils lui donnent une véritable dimension. En bref, c'est le lecteur qui fait battre le cœur de notre création. Les écrivains sont des "Docteur Frankenstein" et les lecteurs jouent le rôle indispensable de "la foudre" ! C'est pour moi un plaisir d'aller à leur rencontre. Ces moments d'échange et de partage sont très précieux humainement.

SES OEUVRES

Invitation pour un Halloween fantastique au château de Malisse le 31 octobre à 20 heures précises. Ne soyez pas en retard, les monstres vous attendent ! Tel est le carton que reçoit Thierry, l'oncle de Vincent, passionné de vieux films d'horreur : il a remporté le prix organisé par le Comte de Glémor. Et Vincent a le droit de l'accompagner ! L'enthousiasme leur fait oublier les rumeurs d'apparitions surnaturelles qui courent sur le château... Le bonheur est à son comble pour Thierry, car les autres invités de cette soirée spéciale sont ses acteurs fétiches - le fameux Club des Monstres ! Une surprise tout aussi agréable attend Vincent : Marjorie, la fille dont il est secrètement amoureux, est là elle aussi... mais la fête tourne vite au cauchemar : des phénomènes étranges ne tardent pas à se produire. Et en explorant le château, ils tombent sur un spectacle tout droit sorti d'un film d'horreur - mais cette fois, le Mal ne se contente pas de rester sur pellicule ! Quand le septième art se combine à l'art caché de la sorcellerie, c'est la terreur elle-même qui crève l'écran... et l'on prie que la réalité ne rejoigne jamais la fiction !

"Ne pénètre jamais dans le cercle des Elfes !" Thomas n'écoute pas la mise en garde de sa grand-mère pour sauver un camarade inconscient du danger. Il ignore que son geste a provoqué un terrible bouleversement dans sa propre famille... Afin de rétablir l'ordre des choses, il va devoir aller beaucoup plus loin et découvrir les merveilles du pays des Elfes. Des merveilles qui cachent autant de malédictions !

"Réfléchissez... Si vous tiriez accidentellement sur votre pire ennemi, essaieriez-vous de le secourir, au risque qu'il vous attaque en justice ? Pensez-y ! Qui n'a jamais eu envie de supprimer un être immonde ? Sans doute serions-nous tous des assassins, s'il n'y avait cette peur de l'emprisonnement. Cessons d'être hypocrites : c'est uniquement la crainte de la répression qui bloque nos pulsions meurtrières."
Quand une bande de vieillards et un jeune orphelin commettent accidentellement un meurtre, puis prennent conscience du plaisir qu'ils ont à éradiquer les nuisibles, les homicides se succèdent à la vitesse de l'éclair dans la jolie station balnéaire de Reauville. Mais qui donc irait soupçonner cinq petits vieux bien sous tous rapports, et un gamin à qui l'on donnerait le bon dieu sans confession ? D'autant que ce club d'apprentis criminels ne manque pas de talent pour maquiller ses forfaits en disparitions ou en morts naturelles. Comme si, en définitive, certains de ses membres n'en étaient pas à leur coup d'essai...

Demain, Mantii partira dans les Monts Incendiés pour une retraite d’un neuvain. Elle sera escortée par la sadique veuve Aunanii, chargée des rituels prénuptiaux qui transformeront la naïve pucelle en une femme digne de l’étreinte de son promis. Toute la tribu atrébate festoie à l’annonce de cette bonne nouvelle, tandis que la principale intéressée est contrainte de garder le lit, ainsi que l’exige la coutume.
Mantii, impatiente d’épouser l’homme qu’elle aime, mais néanmoins terrifiée par le voyage initiatique, parvient à s’évader quelques temps en forêt. Mais lorsque la jeune fille revient au village, les danses et les rires ont laissé place aux flammes et à l’horreur. La communauté a été victime d’une incursion des terribles barbares Galaghels. Et c’est en cherchant des survivants que Mantii est surprise à son tour par les responsables du massacre…

Les sœurs atrébates ont été séparées, pour la première fois de leur vie. Mantii va prendre place chez les Valaïss, les concubines préférées de l’intrigant Marguit de Lonlagen… Mais derrière la façade de paix et de prospérité que présente la presqu’île, se cache une société régie par d’étranges jeux où il ne fait pas bon être la perdante.
La situation d’Ydelle n’est guère plus enviable. La jeune fille révoltée doit affonter la folie d’une famille entière, avec pour seul choix celui d’accepter de jouer un rôle… ou d’être emmenée dans les caves du manoir, où des plaintes étouffées agitent régulièrement la puanteur des ténèbres.
Sur l’autre rivage, Krel mène ses guerriers au combat, en luttant contre les dangereux sentiments éveillés en lui par une esclave. Et, croisant toutes les routes, de mystérieuses amazones poursuivent leurs propres desseins…

Après avoir affronté la cruauté des barbares et le sadisme des nobliaux, les rares Atrébats survivants font face à un péril qu’ils n'avaient jamais connu : celui de la liberté. Chacun doit désormais suivre son chemin… mais ce choix peut se révéler aussi dangereux que la pire des malédictions. Mantii et Ydelle en sont conscientes, mais elles doivent aussi composer avec les adoratrices du Déchu, découvrant un monde qu’elles ne connaissaient pas : celui des sorcières, des potions sulfureuses et des démons lubriques !
Pour contrer les maléfices, les deux sœurs peuvent compter sur une poignée d’alliés. Les fières Orfalines, amazones aux corps parcourus d'ambrages. Mais aussi quelques Galaghels, anciens ennemis à la recherche de leur chef disparu… Leurs quêtes communes semblent vouloir les ramener où tout a débuté. Là, dans les brumes de l’Ergemont, se jouera le destin de chacun…

Quelle poisse pour Simon ! Etre obligé d'aller s'enfermer une semaine chez Tante Anna, dans une vieille maison au fond des bois, ce n'est déjà pas très drôle. Surtout quand tous les arbres dépérissent, victimes d'une étrange maladie ! Mais lorsqu'il découvre que sa tante n'est autre qu'une méchante sorcière, cela vire carrément au cauchemar... En cherchant à s'échapper, Simon il atterrit au pays de Féerie. Là, un mal abominable transforme les fées en statues de marbre. Pour les sauver de ce sortilège, Simon devra affronter sa tante - le premier d'une longue série de dangers...

Antoine croit d'abord a une farce, lorsque deux inspecteurs farfelus viennent arrêter son père pour meurtre. Pourtant, ce dernier a bel et bien disparu, et avec lui ceux de Joris et Élizabeth ! Qui est à l'origine de ces enlèvements, et surtout, pourquoi ? Et si le crime n'avait pas eu lieu dans notre monde, mais dans celui de Féérie... Là-bas se prépare le procès des trois pères. S'ils veulent les sauver, il ne reste plus à leurs enfants qu'a franchir les portes de l'Autre Monde, et affronter le redoutable tribunal des Follets !

La cruelle sorcière russe, Baba Yaga, est en cavale en France. Et elle a embarqué avec elle un enfant de noble lignée qui, cuisiné selon une recette magique, pourrait bien faire d’elle la plus puissante créature du monde ! Malheureusemement, Baba Yaga va devoir composer avec son pire ennemi : la poisse. Un fléau bien plus terrible que tous les chasseurs de sorcières lancés à ses trousses…

Bonjour Eva, merci beaucoup d'avoir accepté de répondre à cette interview pour "Les Livres en Folies".

1) Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes pour vos futurs lecteurs ?

Bonjour Aurélie et merci pour cette interview.

Je me nomme Eva, et c’est un pseudo. Je suis auteur depuis un bon moment, j’ai déjà un premier livre publié à mon actif, sous un autre nom, et j’ai accumulé plus de dix ans d’activités en maison d’éditions. J’ai (presque) tout fait : correction, rédaction, mise en page… actuellement je suis freelance dans l’édition. J’interviens pour coacher les auteurs en difficulté, je réalise des mises en page, et des corrections. Et j’écris.

2) Vous êtes l'auteure de Journal d'un gentleman, pouvez-vous nous en dire plus sur ce roman ?

Journal d’un gentleman, c’est le récit d’Alex, un jeune séducteur. Il est du genre à multiplier les conquêtes sans lendemain, et ne s’attache jamais. Enfin, quand je dis jamais… je devrais dire d’ordinaire, jamais, car il y a bien cette fille, Ana, sur qui il a flashé, à tel point qu’il est prèt à tout pour l’approcher. Seulement voilà, et c’est un fait inédit : il ne l’intéresse pas!

3) Parmi les personnages que nous allons pouvoir rencontrer, lequel est votre préféré ? Pouvez-vous nous dire la raison de ce choix ?

Je suis attirée par Alex, car c’est un homme mystérieux, qui peut être adorable et gentil d’un côté, et un vrai requin sans coeur de l’autre. Mais mon préféré est sans conteste Oriane, car elle est la femme de tous les jours, la fille que l’on croise dans la rue, qui vous ressemble et qui aurait pu être vous, dans une autre vie.

4) Comment s'est déroulée votre recherche de maison d'édition ? Pourquoi avoir sélectionné Nisha édition ?

En fait, je n’ai pas vraiment cherché de maison d’édition. J’ai répondu à un appel à textes et rédigé le premier chapitre de Journal sur demande, comme ça, pour voir si ça pouvait fonctionner et j’ai eu la chance d’être sélectionnée. Mais maintenant que je connais Nisha et son équipe, je dois dire qu’à choisir entre eux et d’autres éditeurs à qui je me suis déjà frotté, je choisirais Nisha sans discuter : l’équipe fait un travail très sérieux et studieux, et s’implique réellement dans la création du roman. C’est une maison d’édition, une vraie, comme on en voit de moins en moins souvent malheureusement.

5) A partir de quel moment vous êtes vous mise à écrire ce livre ? Combien de temps avez-vous pris pour le terminer ?

Il faut que je replonge dans mon agenda! J’ai commencé le récit d’Alex dès mon premier contact avec Nisha. Si je n’avais pas été retenue, je l’aurais sans aucun doute continué, mais peut-être pas si rapidement… Globalement j’ai dû mettre un mois (septembre 2015) à peu près à réaliser ce premier tome.

6) Qui sont vos auteurs favoris ? Vous êtes vous inspirez de ces derniers pour la rédaction de Journal d'un gentleman ?

Il y en a beaucoup : J.M. Auel, Barjavel, Marie Stewart, Dan Simmons, Marion Zimmer Bradley, Bernard Tirtiaux… mais paradoxalement, hormis les deux premiers mentionnés, ce ne sont pas eux qui m’ont inspiré Journal. L’inspiration, je l’ai construite seule.

7) Qu'aimez-vous faire dans la vie de tous les jours ? (sans compter écrire bien entendu).

Ecrire, ça va de soi . Lire, beaucoup ; jardiner ; voyager ; et être avec mes enfants.

8) Un dernier petit mot pour vos futurs lecteurs ?

D’accord : Juste vous dire de ne pas vous fier à ce que vous lisez. Les apparences sont souvent trompeuses.

Merci encore de votre intérêt pour Alex. Bonne lecture.

Sites :

http://eva-dekerlan.cabanova.com/

http://www.nishaeditions.com/catalogue/crush-story/journal-d-un-gentleman/

https://www.facebook.com/Eva-de-Kerlan-462359953888997/

SES OEUVRES

"Alex, avocat brillant a tout pour plaire. Entre sa carrière et son charme, rien ne lui résiste. Rien ? C'est du moins ce qu'il pensait avant de LA croiser. Elle, ce parfum, cette silhouette qu'il aperçoit, qui lui résiste. Alex réussira-t-il à se remettre de cette rencontre ? Parviendra-t-il à la rendre folle de lui, comme il sait d'ordinaire si bien le faire ?"